INFO GENERALE SPORT COGNAC.. INFO GENERALE SPORT COGNAC..

Il disait quoi cet article, car le lien est dead !

C'était un article sur les niveaux et les évolutions des cotisations des clubs à Cognac...

http://www.charentelibre.com/article.php?id_sequence=10&id_article=76930

tatata...

ca avance, ca avance doucement ...

http://www.charentelibre.com/article.php?id_sequence=0&id_article=77235
http://www.sudouest.com/161106/vil_cha_cognac.asp?Article=161106a79570.xml

.. en ce qui concerne la position de M. Gras , nous lui faisons passer dans la journée l'état du rayonnement dee l'UAC afin de lui démontrer le contraire de ce qu'il pense... chiffres à l'appui.

«Je sais que je vais encore passer pour l'emmerdeur qui n'arrête pas de rouspéter.» Alors tant pis s'il passe encore pour le vilain petit canard de service, mais Jean-Marc Granger, le président du club de l'UA Cognac football, en a ras les crampons. Dans son collimateur cette fois, l'état indigne des quatre terrains du complexe de la Belle-Allée. Il s'en est indigné auprès du maire de Cognac, Jérôme Mouhot, par le biais d'un courrier de trois pages avec copie aux licenciés, à leurs parents, à la Fédération française de football, à la Ligue régionale et au District de la Charente.


«Je n'avais encore jamais vu des arbitres remettre des matches de jeunes en raison d'un trop mauvais état des terrains. C'est arrivé plusieurs fois cette saison, demandez à Leroy et à Royan qui sont venus chez nous pour mieux faire demi-tour», illustre le président. «Quelle image donnons-nous du club et de notre ville», écrit encore le président au maire.


Le week-end dernier, l'arbitre a dirigé le match de la réserve des 18 ans à l'unique condition que ce dernier ait lieu sur le terrain d'honneur. Là où l'équipe première, qui évolue en championnat de France CFA 2, avait joué la veille au soir. «Autant dire que le terrain, qui n'était déjà pas en bel état, est quasiment labouré», témoigne Jean-Marc Granger. Si la neige tombée dans la nuit de mercredi à jeudi a recouvert la misère, ce n'est pas elle qui a contraint les quarante-cinq seniors du club à s'entraîner en début de semaine sur le terrain d'athlétisme voisin, Félix-Gaillard.


Attendre le transfert des sports à la CDC


Terrains défoncés, truffés de trous et d'ornières à la Belle-Allée dès qu'il pleut abondamment; un terrain stabilisé à peine éclairé au vélodrome où les douches sont froides, à cause d'une chaudière hors service... En cette fin de semaine, face à cette situation, Jean-Marc Granger a demandé au service des sports la possibilité d'utiliser une salle. Hier matin, Alain Arramy, le directeur du service, lui a répondu par la négative. «Du coup, l'entraîneur Dominic Polo devait aller voir la salle de Louzac-Saint-André que la commune était disposée à nous prêter pour voir si les joueurs pouvaient s'entraîner hier soir», raconte encore Jean-Marc Granger.
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Du côté de la municipalité, Jérôme Mouhot a bien pris connaissance des récriminations du président de l'UAC. «J'ai demandé à mon adjoint aux sports Pierre-Alain Pédeutour et au directeur du service des sports de lister ce qui avait été fait ces dernières années et ce qui restait à faire à la Belle-Allée», indique le premier magistrat. Rappelant au passage: «Je comprends les demandes des dirigeants de club, mais qu'ils soient également conscients des contraintes qui sont les nôtres en temps qu'élus.»


Pour le maire de Cognac, pas question de se lancer dans des travaux lourds et coûteux. «Si nous avons lancé une réflexion du transfert de la compétence sport des communes vers la communauté de communes, c'est pour répondre à ce genre de soucis. Afin de régler ces problèmes de façon durable et pas au coup par coup», martèle Jérôme Mouhot.


En attendant, l'UA Cognac doit faire avec. Ou sans, comme on veut. «Mardi et mercredi prochains, nous irons nous entraîner à Cherves-Richemont, qui a bien voulu nous prêter ses installations...», soupire une dernière fois Jean-Marc Granger.

http://www.charentelibre.com/article.php?id_sequence=10&id_article=86952
ci-dessus la réponse de la mairie au constat de dégradation des conditions de pratique


... en toute transaparence, ci-dessous la réponse du président au maire


Bonjour,

Je viens de prendre connaissance de l'article du jour répondant à mon récent courrier de mécontentement concernant les conditions de pratique.
Je conteste dans un premier temps l'esprit d'acharnement "soudain" qui se dégage, en vous reprécisant que les "pelouses" ont été un des premiers sujets abordés lors de ma prise de fonction ... en 2002.
Pouvez-vous détailler par retour de mail, le détail des travaux majeurs effectués sur celles-ci ? Cela sera important pour les personnes en copie de ce mail et pour les lecteurs ?

Je constate par ailleurs dans cet article une grande revue de détails concernant d'autres sujets importants (subventions, emplois..).

Je ne souhaite pas laisser certaines de vos données sans précision ou rectificatif.

"Nous sommes agacés d'entendre dire que la municipalité ne fait rien pour lui"
C'est totalement inexact.
Laisser croire aux lecteurs que nous ne sommes pas satisfaits de certaines aides apportées nous fait passer pour irresponsables. Nous n'avons jamais renié les aides apportées depuis plus de 4 saisons, comme nous avons toujours avancé que c'était notamment grâce à votre soutien général, accompagné de notre action souvent victorieuse, que nous avions pu gravir les différents échelons.
Et jusqu'à l'orée de cette saison, il n'y avait aucun doute dans nos esprits.

"L'ingratitude de son président" ...
Lire ci-dessus, même réponse.

"Quant à la subvention, elle a augmenté de 90% entre 2002 et 2006, passant de 48 800 euros à 93 000 euros"
Il faut ici préciser les principales progressions du club de 2002 à 2006, justifiant cette augmentation.

Senior A, de DHR à CFA2 => 2 niveaux de plus. En CFA2, seul 0,5% de clubs français sont à présent supérieurs à l'UA Cognac.
Les différentes charges progressant avec l'augmentation sensible du niveau, entre autres le nombre de kilomètres passant de 3 000 à 10 000 par saison...

Senior B, de 1ère division de district à Promotion Honneur => 3 niveaux de plus
Incidences des charges proportionnellement idem par rapport à ci-dessus

Senior C, création d'équipe et déjà 2 niveaux de plus (3ème division de district à ce jour)

... soit 7 niveaux de plus pour les seniors

Jeunes
En plus de 4 saisons création de 4 équipes supplémentaires

Educateurs.Entraîneurs, passage de 15 à 26 éducateurs dont 21 diplômés à ce jour

Licenciés, passage de 230 à 360 à ce jour (une quarantaine supplémentaire ayant été refusée cette saison par manque de locaux et conditions d'accueil)

Equipes, en 4 saisons, passage de 12 à 16 équipes

... je stoppe là, mais on pourrait détailler bien d'autres avancées comme la création de l'AEFC.


"Hormis Blagnac - 110 000 euros, c'est Cognac qui subventionne le mieux un club de CFA2"

En précisant que ceci ne concerne qu'une seule des 8 poules de CFA2, je laisse la responsabilité de cette étude à ceux qui l'ont effectué et surtout aux municipalités qui ont répondu ... Beaucoup d'entre elles et nous le constatons sur le terrain à la rencontre des dirigeants adverses, abondent les clubs d'aides complémentaires : ... emplois en nombre adaptés aux sportifs et aux entraînements, prise en charge des transports, prise en charge de l'entraîneur majeur, logements... ce qui n'entre pas dans le calcul de la subvention "de base" comparée ici et qui améliore sensiblement les conditions "officielles".

"Et c'est le seul club sportif à s'être vu doté de quatre emplois municipaux - trois aujourd'hui - pour ses joueurs"
Je pense que nous avions bien du retard en la matière... je me souviens de certaines paroles et articles de votre part laissant à penser que d'autres disciplines auraient pu constituer une équipe complète avec les employés communaux...
Aujourd'hui, j'espère que les 3 joueurs concernés vous apportent satisfaction et justifient les raisons de leur recrutement, à savoir les compétences sportives et surtout professionnelles... Quant au 4ème poste, il nous aurait été bien utile de le conserver en cette saison de montée, mais vous le savez déjà, je crois.

Difficile ne ne pas penser ici aux besoins des autres clubs majeurs cognaçais et à la mise en place d'une véritable politique "sport/emploi" en faveur des joueurs et joueuses aux compétences professionnelles requises, favorisant parrallèlement le rayonnement et la renommée de la ville...

"Mais sans prendre en compte ceux-ci, Cognac dépense en moyenne 180.000 euros par an pour l'UA Cognac et ce sera 251.000 euros en 2007. Et 60.000 euros d'investissements sont inscrits au budget."
Faîtes-vous établir ces ratios avec autant de précisions pour les autres sports ? Peut-on avoir le détail des 60.000 euros d'investissement mentionné ?

"En terme de subventions, l'UA passe devant l'USC (103.000) et le basket (92.000) notamment (plus 73.000 euros de la communauté de communes)"
Puisque nous sommes passés au stade des "comparaisons", en toute honnêteté et sans esprit de jalousie par rapport à mes collègues, allons alors jusqu'au bout de la comparaison et effectuons un rapide calcul par licencié, ce qui compte tenu des différentes charges d'un club (encadrement, déplacement, équipement, nombre d'équipes...) est bien plus adapté.

UAC : 108.000 euros pour 360 licenciés = 300 euros
USC : 103.000 euros pour 250 licenciés environ = 412 euros
CBB (mairie uniquement) : 92.000 euros pour 280 licenciés environ = 329 euros
CBB (mairie et CdC) : 92.000 euros + 73.000 euros pour 280 licenciés environ = 589 euros

"Au regard des chiffres, nous laissons chacun juge" ...
... effectivement.

Cordialement quand même car toujours "cognaçais"... et surtout en attente de solution pour évoluer sereinement à Cognac (et non en périphérie) dans les conditions requises pour notre niveau en espérant votre réponse sur ma question initiale.

Merci.

Jean-Marc

Clubs qui rient et clubs qui pleurent

Jean-Pierre COFFIN
Un sport cognaçais à deux vitesses. D'un côté, les clubs choyés par l'intercommunalité, vivant sous le régime particulier de la communauté de communes (CDC): basket, centre équestre, aviron. Ces structures qui bénéficient de la puissance financière communautaire, ont eu récemment, l'aviron et le CBB notamment, ou auront bientôt - le centre équestre - des infrastructures flambant neuves.

De l'autre côté, pour ceux qui restent sous la bannière de la Ville de Cognac, le paysage est contrasté. Etat des lieux en quatre points; avec l'UA Cognac (foot), le CAC (athlétisme), l'USC (rugby) et le judo-club; des infrastructures sportives cognaçaises.

«Le Moribond» chanté à la Belle-Allée

Côté complainte, le tour de chant de Jean-Marc Granger, le président de l' UAC, est le plus bruyant. Les chutes de neige de fin janvier dernier l'ont poussé à entonner son refrain un peu plus fort encore. Il y avait de quoi (voir CL de samedi 27 janvier). Chaque couplet est plus proche du «Moribond» que de «La Vie en rose» pour ses joueurs. Terrains annexes défoncés obligeant les arbitres à annuler des matches et terrain d'honneur transformé en champ de patates chaque hiver. Vestiaires pour les enfants, indignes. Eclairage faiblard au vélodrome et chaudière en panne. Et plus de 300 licenciés SDF (sans domicile fixe) de l'entraînement. Il y a un an, c'est le bureau des éducateurs qui fermaient ses portes pour raison de sécurité: les termites avaient fragilisé l'ossature. Pour ne rien arranger, le terrain n'est pas aux normes fédérales![/b]
Coup de froid sur les pistes

A l'athlétisme les couplets reprennent les mêmes thèmes. Chaudière en panne, piste défoncée, absence de tribune. Le CAC compte 224 licenciés, «répartis sur une vingtaine de communes, et 40% de Cognac» précise le président Jean-Paul Delbouys. «La chaudière est en panne depuis le début de saison,les vestiaires sont petits, notamment pour les scolaires, le revêtement de la piste est défoncé, mais elle a quand même 20 ans, et nous n'avons pas de tribunes. Ce dernier point nous empêche d'organiser des compétitions de haut niveau».
Si tout cela n'a pas empêché le club d'avoir un double champion de France de marathon, Patrick Joannès; une championne de France à plusieurs reprises sur 800 mètres, Barbara Gourdet; et aujourd'hui l'un des meilleurs perchistes français Renaud Lavillenie et un champion de cross Thierry Guibaut. Une amélioration des conditions d'entraînement serait bénéfique à tous. «Il faudra que ça avance, constate Jean-Paul Delbouys, et cela se fera dans le cadre de l'intercommunalité».


Pas de blues au rugby
La mélodie est beaucoup plus douce du côté du Parc des sports, siège de l'USC, le club de rugby aux 291 licenciés. «La qualité de réfection du terrain d'entraînement Jean-Martinaud est très satisfaisante. Il ne se dégrade pas, assure le président Marc Mesnier. Nous sommes pleinement satisfaits du service des sports réactif et efficace. Nos bureaux ont été entièrement refaits, le Tivoli pour l'après-match est satisfaisant, il y a eu des travaux au club-house, tout va bien». Le drainage du terrain d'honneur fonctionne mal et un problème de dénivelé, -un mètre sur la diagonale -, gâche un peu la vie sportive des rugbymen. Mais Marc Mesnier relativise: «Nous ne sommes qu'en Fédérale 2». Pour le président si des efforts doivent être faits c'est sur l'ouverture d'un nouveau terrain d'entraînement. «L'idéal serait donc un terrain à côté de Jean-Martinaud». Mais Marc Mesnier préfère ne pas se plaindre: il se souvient qu'il y a trois ans, avant la rénovation du terrain Jean-Martinaud, ses troupes devaient s'exiler tout l'hiver sur le terrain de Cherves-Richemont! «Nous utilisons la base plein air, mais il manque un éclairage efficace et surtout des vestiaires et des douches.»

Au judo, «La Vie en rose»
La vraie chanson douce, il faut aller au judo pour l'entendre. Depuis leur installation dans le dojo Alcide-Gibeaud, en octobre 2002, les 345 adhérents - dont 287 judokas licenciés - sont «satisfaits» selon le mot du président Pierre Beau.
Les locaux, impasse Jacques-Cœur, étaient ceux du club de gymnastique avant son installation au complexe omnisports des Vauzelles. «Là c'est vraiment le pied, poursuit Pierre Beau. 442 mètres carrés de tatami contre 284 place de la Salle-Verte, une salle de musculation, un club-house, un hall d'accueil, on ne peut pas avoir mieux».


Le miracle intercommunal ?
A l'image de Jérôme Mouhot, les présidents cognaçais sont tous favorables à un passage sous le drapeau de la CDC. A l'athlétisme, seuls 40% des licenciés sont cognaçais. Au foot, ils sont moins de 35%. Les mêmes proportions se retrouvent au rugby et au judo. Jérôme Mouhot disait dans ces mêmes colonnes, il y a peu (samedi 27 janvier): «Le transfert de la compétence "sport" à la CDC est à l'étude. Cela répondra à ce genre de souci dans toutes les communes et réglera les problèmes de façon durable et non au coup par coup.»

Pas sûr que les autres maires de la communauté de communes soient sur la même longueur d'onde.

Si je comprend pas bien le president a des allies dans la presse qui confirment ses dires au sujet des infrastructures,du budget....
Bravo

Lu ce matin dans Sud Ouest...


COMMUNAUTÉ DE COMMUNES. --Lors des orientations budgétaires 2007, le maire de Châteaubernard s'est voulu alarmiste. Le directeur des services financiers répond

« On va dans le mur »: : Stéphane Durand


La phrase est forte, elle est du maire de Châteaubernard Jean-Claude Fayemendie, inquiet quant au bouclage du budget 2007 de la communauté de communes de Cognac. L'intéressé a peur que la collectivité ne puisse pas supporter tous les transferts de compétence voulus par le président, et notamment la compétence sports.
C'est ce qu'il a laissé entendre lors des orientations budgétaires, jeudi soir. « Si on ne fait pas attention, le budget va s'envoler », insiste t-il. « Il y a eu beaucoup d'effet d'annonce et on va devoir recourir à l'emprunt », insiste-t-il.
Les orientations budgétaires annoncées jeudi le laissent à penser, ce qui ne signifie pas que ce soit pour autant catastrophique. « Nous sommes passés d'un endettement de 8,7 à 11 millions d'euros fin 2006», explique Philippe Dominique, le directeur des services financiers de la ville de Cognac. « Ce n'est pas une situation catastrophique. Toute collectivité de cette taille qui veut investir et donc faire preuve de dynamisme se retrouve dans la même situation. »


Le détail des orientations. Les prévisions se décomposent ainsi : en intégrant le budget principal et les budgets annexes, le budget 2007 de la CdC s'élèverait à 5,2 millions d'euros avec 4 millions pour la commission développement économique (43 %), 900 000 euros pour la culture (9,5 %), 704 000 euros pour l'environnement (7 %), 700 000 euros pour l'espace et l'habitat (7 %), 1,7 million d'euros pour les infrastructures (18 %), 1,1 million d'euros pour le sport et les loisirs (12 %) et 220 000 euros pour le tourisme (2 %).
« Malgré la réforme de la taxe professionnelle et son plafonnement à 3,5 % de la valeur ajoutée, ce qui va nous faire perdre 390 000 euros, nous pourrons couvrir les dépenses sollicitées et assurer un autofinancement important », reprend le spécialiste financier.
La perte des 390 000 euros étant cette année couverte par des rentrées exceptionnelles qui ne se reproduiront sans doute pas lors des prochains exercices?
« Au chapitre des investissements issus des nouvelles compétences, seul le programme des Eaux Pluviales pourrait impacter le budget 2007. Une première inscription de 150 000 euros figure dans les orientations. Il va falloir dans un second temps chiffrer les travaux à réaliser sur la rue d'Angoulême », explique Philippe Dominique.


Compétence sport. Pour cette seule rue, l'enveloppe nécessaire serait d'environ 1,5 million d'euros. « Pour assurer le financement du programme Eaux Pluviales, le recours à l'emprunt s'établirait entre 3 et 5 millions d'euros, en fonction des arbitrages finaux du projet de budget. »
Jamais, jeudi soir ,il n'a été fait allusion au transfert de la compétence sport à la CdC. Et pour cause. Dans l'état actuel des choses, il semble difficile pour la collectivité de l'ingurgiter. « Tant qu'on ne l'a pas chiffrée, on ne peut pas savoir », fait-on remarquer aux services financiers.
«Ce chiffrage prendra plusieurs mois si toutes les communes coopèrent. » Après, il sera toujours temps de négocier?

Pour info, nous avons retourné le questionnaire prélabale à l'étude du transfert de la compétence Sports il y a bientôt 20 mois... sans aucun retour à ce jour malgré les demandes répétées... La dernière réponse était que "certaines associations n'avaient pas encore répondu"...
Superbe ! A lire égelement ci-dessous le passage sur le centre aquatique tellement plus important... s'ils veulent de la "flotte" pour les futurs bassins, ils peuvent venir pomper les terrains de la BA !


Le plan de financement du centre aquatique sera revu

Forcément liée aux orientations budgétaires, la question de la réalisation du nouveau centre aquatique a refait surface jeudi soir.
Contrairement au budget 2006, aucun crédit de paiement n'est prévu dans le budget 2007 à ce sujet, confirmant la volonté des élus de redéfinir le projet. Autrement dit, ils vont se laisser un peu de temps pour le rechiffrer à la baisse et chercher des subventions supplémentaires .
Rappelons que le coût du projet s'est envolé en quelques années pour dépasser plus de dix millions d'euros.
Trop important pour être supporté par la CdC. La Région et le Département seront donc à nouveau sollicités pour apporter leur aide au financement de l'infrastructure.
Le conseil régional, par la voix du conseiller régional PS Michel Gourinchas, a déjà fait savoir que la subvention de la Région devrait faire partie de l'aide apportée au syndicat de Pays Ouest Charente Pays du Cognac, présidé par Bertrand Sourisseau.
Ce dernier n'est cependant pas d'accord. « Nous souhaitons que les aides de cette dimension ne fassent pas partie du contrat de territoire. Si le conseil régional insiste, nous serons obligés de limiter le taux de subvention retransféré au centre aquatique », explique t-il.


Aucun calendrier. Autrement dit, si sur les dix millions d'euros la CdC pouvait espérer une aide de 20 % du Conseil régional, la somme sera revue à la baisse si elle doit transiter par le syndicat de Pays. « Nous ne pouvons pas mettre tous nos oeufs dans le même panier et laisser les autres projets sur le bord de la route », fait remarquer Bertrand Sourisseau.
Autant dire que le calendrier de réalisation du futur complexe aquatique est loin de voir le jour. « Le projet en lui-même n'est pas remis en cause dans son principe », avait assuré le président de la communauté de communes Jérôme Mouhot lors des voeux de début d'année. Il avait aussi souligné le manque de coopération de la Région. Un soutien cependant nécessaire pour que le projet voit enfin le jour?

... On devrait gérer le club comme ça, qu'en pensez-vous ? "On promet, on compte après..." pas mal comme slogan, non ?

... Evidemment, Segonzac joue à un autre niveau que Cognac, ce qui explique logiquement la politique d'investissements des 2 communes en faveur du sport le plus pratiqué ...
... Bon, d'un autre côté, ça nous fera un terrain de repli supplémentaire


Sud-Ouest du jour

Le budget municipal adopté à l'unanimité. Le stade de foot est dans les tuyaux

800 000 euros pour le foot

Après avoir adopté à l'unanimité les comptes administratifs 2006 de la commune et de l'assainissement, les conseillers ont autorisé le maire à signer le contrat de maîtrise d'oeuvre avec le cabinet Robin, qui a élaboré un avant-projet sommaire pour la création du terrain de football dont le montant de base des travaux a été évalué à 854 155 euros et à solliciter toutes les subventions possibles.
La participation financière du Syndicat d'électrification et de gaz (SDEG) pourrait être de 35 % du montant HT des travaux d'éclairage à condition que la commune transfert l'entretien et les travaux de l'éclairage des installations sportives au SDEG moyennant une contribution financière annuelle.

...

mon cher rex, afin de limiter les dépenses inhérentes à l'entretien des vestiaires, je préconnise l'achat par le club d'un grand camping-car beaucoup plus adapté pour se déplacer sur les terrains d'accueil extérieurs à la commune, s'habiller , se doucher... le prévoir assez grand afin de pouvoir accueillir nos amis les gipsy kings pour des 3è mi-temps endiablées...
allez REX courage (il en faut)

... m, je n'y avais pas pensé !!! Si on avait demandé des roulettes au nouveau vestiaire "Algeco Confort, si vous l'utilisiez, vous y seriez encore" (superbe, en plus, ça valorise l'image du stade ..), on aurait pu le faire suivre ...
Jobi, Joba ...



... Plus sérieusement, sur le même sujet, voici le courrier transmise ce matin aux présidents et maires des communes de Chateaubernard, Cherves, Jarnac et Louzac Saint-André ainsi qu'au Maire de Cognac et au Président de la Communauté de Communes.



Monsieur le Président,

A l'issue d'une longue période d'indisponibilité de ses installations, l'UA Cognac Football souhaite vous remercier de votre aide précieuse.

Devant faire face à une insuffisance dans la qualité de nos infrastructures, nous vous avons sollicité que ce soit par le prêt de terrains pour des rencontres amicales, d'entraînements et même afin de pouvoir bénéficier d'une salle de sports lorsque la situation était particulièrement dégradée.

Afin de remercier l'ensemble de votre association, nous sommes heureux d'offrir à chacun d'entre vous 10 invitations à choisir parmi nos 4 derniers matches de CFA2 à domicile, le panachage étant possible (*)

Samedi 14.04.07 COGNAC - NIORT 2
Samedi 28.04.07 COGNAC - CARCASSONNE
Samedi 12.05.07 COGNAC - AURILLAC FCA 2
Samedi 19.05.07 COGNAC - LUCON

En souhaitant qu'un jour le "grand-frère" puisse vous venir en aide à son tour, ce qui serait légitime, nous vous prions d'agréer, Monsieur le Président, l'expression de nos salutations sportives et distinguées.


Jean-Marc Granger
Président de l’Union Amicale Cognac Football



(*) Pour réserver vos places, merci de contacter M. Claude Martinez au 06 ..........

Ca fait longtemps que nous n'avons pas eu le plaisir de lire un post de notre ami Fabrice... Oh Fabinho t'es toujours la ? Dis nous un peu comment ça se présente pour toi et pour le RAV ?

José pardon pour le retard.
Oui je suis tjrs la. Pour le RVA rien a signaler si ce n'est que nous avons plus de départs que d'arrivees (dont celle de EL BRAHMI) donc logiquement la saison a venir va etre difficile au niveau quantitatif mais aussi au niveau de l'aspect offensif a moins d'un eternel retour de ludo grosquenet ou l'éclosion de jeunes joueurs.
Logiquement l'objectif sera donc d'etre dans les 4(puisque c'est la place la plus fréquente pour le club depuis qu il est en DHR), de faire bonne figure face aux bonnes équipes de la poule (exemple de la "admin-team", leroy, rochefort, perigny, chasseneuil qui vient du dessus...) et en fonction de la "casse", du serieux, de l esprit de compétition, de l'ambiance générale (équipe, finance du club...).
A un niveau plus personnel il va falloir que je me replonge dedans et que tous mes bobo cessent. L'impact direct est que j'ai 3 kgs a perdre pour etre convenable a ce niveau et qu'une bonne prépa est a faire puisque seulement une quinzaine de matchs la saison passée (multiplication des blessures + championnat de DHR avec peu d'équipes + sortie rapide des 2 coupes pour le RVA).
Bref, du sport et du plaisir je l'espère en perspective...

Jean Gombert dans la CL du jour

«La CDC n'agit qu'au coup par coup!»

Le sport encore, mais cette fois au niveau de la communauté de communes que Javrezac n'a rejointe qu'en 2002. «Je suis un farouche défenseur de la prise de compétence "sports" par la communauté de communes», rappelle Jean Gombert, qui est également le porte-parole des clubs du Cognaçais à la commission «sport et culture» du conseil général. «La communauté de communes a des moyens financiers importants, mais elle n'agit qu'au coup par coup! Je regrette qu'il n'y ait pas un véritable schéma directeur pour dresser une liste de priorités et d'axes de travail clairement définis», s'offusque celui qui n'hésite pas à qualifier de «laborieuse» l'entrée de Javrezac dans la CDC sur le bilan du mandat municipal bientôt adressé aux Javrezacais.